vendredi 4 octobre 2024 Les métiers disparus !

En cette période de ralentissement économique, nous vous invitons à faire un voyage dans le passé pour découvrir des métiers insolites qui, en raison des progrès technologiques, ont complètement disparu et sont devenus obsolètes. 

Métiers disparus à cause de la technologie

  • Les progrès technologiques ont conduit à la disparition de nombreux métiers.
  • Ces métiers, autrefois essentiels, n'ont plus de sens dans le monde moderne.

Évolution technologique et obsolescence des métiers

  • L'innovation a bouleversé le marché du travail.
  • Les métiers manuels ou liés à des techniques dépassées ont été remplacés par des machines.

Impact du développement technologique sur la société

  • Les machines ont rendu obsolètes plusieurs professions.
  • Les avancées technologiques ont transformé la manière dont nous travaillons et interagissons.

Métiers insolites du passé

  • Certains métiers anciens semblent aujourd'hui surprenants ou inutiles.
  • Ils témoignent de la façon dont la société a évolué avec la technologie.



    L'allumeur de réverbères :
    Avant l'automatisation de l'éclairage public et son raccordement à un réseau, l'allumeur de réverbères parcourait les rues pour allumer manuellement chaque lampe. Aussi appelé "Falotier", ce métier a peu à peu disparu avec l'évolution technologique. Bien que son nom soit plus énigmatique, il s'éloigne de l'expression familière "enfonceur de portes ouvertes".

Flottier :
Le Flottier était chargé de guider les troncs d'arbres flottant sur les rivières jusqu'aux scieries ou chantiers. L'avènement du transport ferroviaire et routier a rendu cette méthode de transport désuète, la rendant ainsi plus pratique.

Chauffe cire :
Métier autrefois indispensable, le Chauffe Cire chauffait la cire nécessaire pour sceller des documents. Travaillant souvent avec un Chancelier pour formaliser les actes, il fallait la collaboration de deux personnes pour sceller un acte juridique.

Galochier :
Le Galochier, fabricant de sabots et de chaussures à semelles de bois, a été remplacé par des métiers plus modernes comme le cordonnier. Aujourd'hui, les chaussures privilégient le confort, la sécurité et l'esthétisme, laissant les sabots dans les pages de l'histoire.

Crieur public :
Avec sa voix puissante et ses accessoires sonores, le crieur public proclamait les nouvelles dans les rues. Certains se spécialisaient dans les offres d'emploi, les avis de décès ou les annonces générales. À Londres, au Speakers' Corner de Hyde Park, cette tradition persiste, où chacun peut exprimer son opinion en public.

Warandeur :
Spécifique à Dunkerque, le Warandeur supervisait le salage des harengs, un processus clé de la conservation des poissons dans cette région. Cette tâche spécialisée n'était pas accessible à tous.

Panacher :
Le Panacher fabriquait des panaches et des bouquets de plumes pour les casques militaires et les chapeaux. La couleur, la taille et l'origine des plumes avaient une signification spécifique, souvent pour indiquer le grade militaire des soldats.

Rusquier :
Le Rusquier récoltait le liège, une tâche délicate et complexe due à la nature du matériau. La récolte du liège était un processus long et exigeant.

Schlitier :
Ce métier périlleux se pratiquait dans le massif vosgien. Les Schlitiers guidaient les troncs d'arbres abattus sur des pistes en pente raide à l'aide de traîneaux appelés "schlitte". La dangerosité de ce travail, notamment les accidents liés à la chute de la schlitte, a probablement contribué à son déclin.

Détecteur d'avion :
Avant les radars sophistiqués, les détecteurs d'avions étaient des hommes équipés de gigantesques cornets acoustiques pour amplifier les sons et détecter les avions à l'approche.

Grâce aux innovations technologiques et à l'amélioration des méthodes de travail, ces métiers ont disparu, souvent pour le meilleur. Cependant, leur souvenir nous incite à réfléchir aux métiers de demain.